Géricault était fasciné par le rapport, le lien entre l’homme et cheval. J’ai enlevé les contours pour qu’ ils se confondent et ne forment qu’un tout. Plus d’arrière ni de premier plan tout se confond, comme une masse graphique. J’ai essayé de gardé la force de cette toile qui la caractérise. Tout semble à la fois calme et en mouvement. Le silence de cette masse bruyante. L’ensemble est en tension, pas une seule ligne n’est droite. Aléatoire mais construit.

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